histoire Killzone 2

Un peu plus de quatre ans après son arrivée sur Playstation 2, voici que Killzone 2 débarque sur Playstation 3. Autant dire que ce titre était attendu par les fans tant les teasers et les différents dossiers à son sujet ont pullulé sur internet Véritable vitrine technologique de la console, Killzone 2 se devait de réussir son entrée. Analyse du troisième chapitre de la Guerilla !

C’est la guerre… Et ?

2357, soit deux ans après les évènements du premier opus…

Les troupes de l’ISA, l’armée terrienne, s’apprêtent à envahir la planète Helghan afin de capturer le leader Helghast, Scolar Visari. Vous incarnez un des membres de l’escouade alpha des forces de l’ISA, Tomas «Sev» Sevchenko, et mènerez l’assaut sur Helghan.

Un scénario dans la lignée des deux premiers épisodes : convenu et classique, vous ne vous attarderez pas très longtemps sur ce sujet. Une légère déception donc. Mais fort heureusement, la mise en scène et les différentes situations rattrapent largement ce défaut pour, au final, nous proposer une aventure très bien rythmée au cœur du conflit et ce, en dépit des clichés du genre.

Une véritable vitrine technologique !

Killzone 2 est beau. Très beau. Il a su sans mal nous infliger la claque tant attendue depuis son annonce. Les effets de lumière, les éclats, la modélisation des décors et personnages… Tout est là pour nous mettre littéralement sur le cul. La Playstation 3 en avait dans le ventre et il a fallu attendre Killzone 2 pour nous le prouver.

La bande sonore n’est pas en reste et nous plonge au cœur même d’un gros film de guerre hollywoodien. Grandes mélodies immersives, effets sonores quasi parfaits, doublage des différents protagonistes réussi… On s’y croirait ! Et c’est tant mieux !

Une véritable vitrine technologique !

La jouabilité du titre est tout ce qu’il y a de plus efficace pour un FPS console. Rien de bien nouveau si on le compare à la concurrence, et pourtant… Tout est là pour nous faire passer un excellent moment, rapide, précis, efficace. Bref, du tout bon, surtout quand on connaît le passif du genre sur console… Les actions s’enchaînent sans mal et on ressent véritablement le poids de Sev lors des déplacements. Un titre « lourd » donc, mais parfaitement dosé.

La dizaine de missions proposées dans la campagne solo vous permettra de vous faire à la maniabilité générale, de découvrir les rouages et les différentes possibilités quand le mode online permettra de découvrir toute la richesse du titre !

En effet, ce mode, à priori relativement pauvre (à peine 8 maps à sa sortie), se révèle particulièrement complet pour peu que l’on s’y intéresse quelques minutes. Il permet notamment à 32 joueurs divisés en deux équipes de s’affronter online au travers de 5 types de missions différentes. Un système de squads pouvant accueillir 4 joueurs est aussi là pour favoriser l’esprit d’équipe et l’entraide quand les grades, permettant de débloquer classes de personnages (jusqu’à 7 classes) et autres armes, maintiennent le joueur scotché à l’écran.

Killzone 2 est d’ailleurs un des jeux les plus joués sur le PSN à ce jour…

Killzone 2 est une franche réussite technique là où la campagne solo aurait mérité plus d’attention. Cela dit, les situations s’enchainent avec aisance et envie, et quelques passages cultes resteront gravés dans les mémoires. Un très bon soft pour un très bon FPS qui s’inscrit sans mal comme la crème du genre sur Playstation 3.

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